Apprivoisée par la bête by Grace Goodwin

Apprivoisée par la bête by Grace Goodwin

Auteur:Grace Goodwin [Goodwin, Grace]
La langue: fra
Format: epub
Publié: 2018-12-15T23:00:00+00:00


Chapitre Sept

Deek

Le rêve est incroyable. Une femme est sur moi, elle me plaque sur le lit malgré son poids-plume. Sa peau douce est souple, son odeur me fait bander. Elle embrasse mon torse, suce mon téton, descend et lèche mon nombril. Ses doigts dégrafent prestement mon pantalon. Elle soulève mes hanches, je l’aide à baisser mon pantalon, j’ai hâte de sentir sa bouche sur ma bite. Mon sexe est en érection, c’est limite douloureux, du liquide séminal s’écoule.

Elle a réveillé la bête, qui, au lieu de faire les cent pas en grognant, se rengorge, on n’est pas des Atlans pour rien, on est tous les deux sur la même longueur d’ondes, c’est ça qu’on veut.

Une bonne fellation.

Elle lèche mon gland, les moindres gouttes. Mes doigts s’enfoncent dans ses cheveux soyeux, je tire dessus pour la guider vers mon membre raidi, je l’encourage à baisser la tête. A me faire une gorge profonde. A me prendre entièrement dans sa bouche chaude et humide.

La succion, bon dieu, la succion et la chaleur de sa langue qui m’astique est à la limite du supportable. J’ondule des hanches, m’enfonçant davantage. C’est trop bon, je sens mon orgasme monter crescendo dans le bas du dos. Le sperme bouillonne dans mes couilles, elles se contractent, je vais éjaculer. Mon sperme chaud et épais sur sa langue et dans sa gorge.

Oui. Mon dieu, oui.

Je me réveille en sentant cette union avec cette femme. Je relève la tête et regarde mon corps, ses lèvres charnues sucent mon sexe.

Tiffani. Ma partenaire, belle et parfaite. Mon sexe dans sa bouche.

Un ‘pop’ se fait entendre, elle me lâche. « Bonjour, partenaire. »

Sa voix rauque est apaisante, son sourire ne s’adresse qu’à moi. Je me suis endormi en l’attendant. Sarah a frappé à notre porte, elle nous a interrompu—en plein coït—mais j’ai compris que Tiffani avait hâte de rendre visite à un membre de sa planète. Je ne peux rien lui refuser et certainement pas l’empêcher de rendre visite à sa nouvelle amie. Je suis allé m’assoir dans mon bureau avec Dax, on entendait les deux Terriennes rigoler dans la cuisine. Je suis heureux de la savoir contente, mais je l’ai ramenée dans la chambre sitôt nos amis repartis.

Elle m’a littéralement épuisé, faire l’amour sans relâche est plus crevant que combattre la Ruche. Je me suis endormi le sourire aux lèvres après l’avoir possédée, mon sperme bien au chaud en elle, ma bête comblée, pour me réveiller avec ma bite dans sa bouche.

Je halète, mon désir me vrille les couilles. Je regarde les bracelets à mes poignets, ils me paraissent incongrus, avec mes doigts fourrés dans ses cheveux. Je regarde les bracelets à ses poignets tandis que ses mains reposent sur mes cuisses. Les bracelets sont le signe de mon appartenance. Elle est toute à moi. Ses longs cheveux bruns retombent sur mes cuisses tandis qu’elle me suce. Elle me branle vigoureusement, excite mon gland, je sens que je vais jouir. Le plaisir monte mais je me retiens. Je veux sentir ma bite dans son vagin, mon sperme dans son utérus.



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